Observer sans juger, du microcosme au géant

Je vous invite à lire ce poème lentement, en observant chaque détail des images et en vous laissant transporter par l'émerveillement.

Merveille.

Émerveillée par la beauté

qui s'avère précieux

quand tu te détends et que tu te laisses aller

dans le moment présent,

Observer sans juger.

L'émerveillement qui absorbe tout,

du petit au géant,

De la graine à la majestueuse créature ambulante.

Chez les bactéries qui dorment dans le sol et se réveillent lorsque la pluie humidifie le sol,

libérant leur subtil arôme dans l'air,

promesse de vie.

Et chez les géants – éléphants, hippopotames – qui vivent pleinement au rythme des saisons,

suivant le souffle de la terre,

et ils se laissaient simplement vivre,

pleine de présence,

entièrement enracinés dans leur corps,

actuellement disponible,

tels qu'ils sont, ici et maintenant.

Merveille.

À chaque respiration,

sous quelque forme que ce soit,

à chaque instant où tu t'autorises à être.